
Nous débarquons au Nicaragua sur une plage quasi-déserte à Potosí, sur un sable noir et volcanique. Il n’y a que nous et une autre famille qui posons pied, la douane et les services de migrations sont déserts mais il nous faut attendre une heure au poste frontière. C’est toujours moins que nos 4 heures d’attente à la douane du Salvador. Mais tout de même, c’est comme si les deux employés chargés de notre dossier, faisaient tout pour traîner en longueur. Au vue du contexte de répression gouvernementale dont pâtissent les habitants, on se dit que l’ambiance reste tendue et que la confiance ne règne toujours pas.
„Aie Nicaragua, Nicaraguita…“ weiterlesen