Aie Nicaragua, Nicaraguita…

Mika se demande pourquoi la police frappe les gens. Une question toujours d’actualité.

Nous débarquons au Nicaragua sur une plage quasi-déserte à Potosí, sur un sable noir et volcanique. Il n’y a que nous et une autre famille qui posons pied, la douane et les services de migrations sont déserts mais il nous faut attendre une heure au poste frontière. C’est toujours moins que nos 4 heures d’attente à la douane du Salvador. Mais tout de même, c’est comme si les deux employés chargés de notre dossier, faisaient tout pour traîner en longueur. Au vue du contexte de répression gouvernementale dont pâtissent les habitants, on se dit que l’ambiance reste tendue et que la confiance ne règne toujours pas.

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Nicaragua – Despertándose lentamente de una pesadilla

Sanft setzt unser Boot am Strand von Potosí auf. Das kleine Fischerdorf liegt am westlichsten Zipfel Nicaraguas auf der Halbinsel Cosigüina, die den Golf von Fonseca vom Pazifik abschirmt. Wir entladen unsere Räder und den Anhänger und schieben langsam durch den Sand zur Grenzkontrollstelle. Die Abfertigung der sieben Passagier*innen unseres Bootes dauert diesmal lediglich eine Stunde, was im Vergleich zu den vier Stunden bei der Ausreise heute Vormittag in El Salvador ziemlich schnell ist. Wir wollen heute aber sowieso nicht mehr weiterradeln und haben also keine Eile.

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